Ton premier jour sur le tournage des Olympiades, ça ressemblait à quoi ?
C’était comme un saut dans l’inconnu. L’énergie sur le plateau était électrique, et je sentais que quelque chose de spécial était en train de se créer.

Un rôle qui t'a vraiment bousculée ?
Je dirais celui de Nora dans Les Olympiades. Elle est à la fois forte et fragile, et explorer cette dualité m’a demandé d’aller chercher des choses très intimes en moi.

Quel aspect de ton métier te passionne le plus ?
La capacité de se transformer. Chaque rôle est une nouvelle identité à explorer, un nouveau défi. C’est comme vivre plusieurs vies en une seule.

Une scène culte que tu aimerais jouer, toutes époques confondues ?
La scène de danse dans Pulp Fiction. Il y a tellement de liberté et de charisme dans ce moment, c’est une explosion de spontanéité.

Qu’est-ce que tu espères du cinéma de demain ?
Qu’il continue d’ouvrir des portes à des histoires plus diverses, et qu’on puisse voir davantage de récits qui résonnent avec des expériences moins souvent montrées à l’écran.